Une gradation du risque selon le type de drains ?
Dans les quelques cas de colmatage recensés en grandes cultures, on retrouve des observations allant tantôt en défaveur des tuyaux en terre cuite, tantôt en défaveur des drains plastiques. Les premiers présentent l’inconvénient de se laisser apparaître des ouvertures entre les éléments où s’engouffre une masse importante de racines. Les seconds sont par contre constitués de perçages multiples constituant autant de portes d’entrées sur tout le long du parcours. Au final aucun type n’est à l’abri des colmatages racinaires.
En conclusion
Le colmatage racinaire des drains par les plantes cultivées ou les cultures intermédiaires est (heureusement) un phénomène rarement observé. Dans l’éventualité où vous auriez quand même rencontré ce type de problème en interculture, nous vous serions reconnaissants de nous en avertir!
Article rédigé le 14/05/2008 par Nicolas Lefebvre et Sébastien Weykmans, avec l’aimable collaboration de la FUSAGx, de l’UCL, de l’ASBL APPO et d’Arvalis Institut du Végétal.
Source bibliographique : CONCARET J. (1981). Drainage agricole. Théorie et pratique. Dijon, F. Institut national de la Recherche agronomique, pp. 236-239.
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Publié le: 2008-05-13